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Québec, Canada
En année d'étude en Maîtrise de Journalisme International à l'Université Laval. Et après...

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jeudi 28 février 2008

mercredi 27 février 2008

La vie de château

Si vous êtes un lecteur assidu, vous aurez noté que le week-end dernier, le passage de Maman a été un événement gastronomique pour moi... Ce que je ne vous ai pas dit, c'est que Maman avait deux lits dans son hôtel et que j'en ai profité pour :
  • dormir de travers en me roulant dans les draps (et dans tous les sens)
  • ne pas faire mon lit le matin (OK! Je ne le fais pas non plus en temps normal.)
  • aller aux toilettes sans inspecter avec angoisse la cuvette
  • aller aux toilettes avec des tas de magasines pour prendre tout mon temps
  • aller aux toilettes avec une porte fermée jusqu'en bas où on ne peut pas voir mes pieds
  • prendre un bain
  • prendre un deuxième bain
  • allumer la TV, juste parce qu'elle est là et regarder un dessin animé au réveil (curieusement c'est un objet qui ne me manque pas du tout)
C'est bon le luxe...
Mais bonheur suprême, ce que j'ai préféré par dessus tout, c'est faire dormir Groquik, mon vélo, à la consigne d'un relais & châteaux. Ça c'est l'pied !

« - Hem, Hem! 
- Oui Monsieur ?
- Je voudrais récupérer mon vélo s'il-vous-plaît...
- Très bien Monsieur, j'appelle le groom. »

Votez pour moi !


Ça m'a pris presque la journée de me débattre avec leur site, mais ça y est mon reportage est en ligne sur Rue89 pour un concours dont le thème est l'écologie. Après modération et si je ne l'ai pas posté trop tard (j'ai encore attendu la dernière minute) il devrait être par ici demain. Ou dans le coin. 
En tout cas, une partie du vote est ouverte au public alors n'hésitez à venir voter pour moi et à jouer les fayots dans les commentaires pour influencer le jury.

J'ai testé pour vous...

Le Hamburger au distributeur!
(j'aime prendre des risques)

Composition : pain, "viande", fromage

Odoromètre : négatif

Consistance : pâteuse, bonne adhérence
Ah non...
Goût : pas pire... Mais les morceaux d'os ou de cartilage concassés étaient si nombreux que j'avais l'impression de manger une pastèque. Put! Put! Put! (je fais bien les pépins crachés, hein ?!?)
Appétence : sans commentaire.

Ça vous écoeure ? Il y a pire... 
Des types ont inventé, le Cheezburger en conserve

Si, si...

Perdu de recherche

Cette affiche était dans l'ascenseur et je me demandais : comment est-ce que l'on fait pour perdre une seule chaussure ? Si vous avez la réponse, je ne donne aucune récompense pour la connaître. 

Mise-à-jour : il semblerait qu'un pingre ait retrouvé ladite chaussure. Une discrète suggestion de récompense a été ajoutée sur l'affiche...

mardi 26 février 2008

Dur dur, d'être un geek!

Ça y est ! Les nouveaux mac sont là. Et le mien n'est officiellement, avec 0,2 petits GHz de différence, plus le tout dernier. Ça fait un coup de vieux tout de suite, alors qu'il souffle à peine ces trois bougies (en mois, pas en années)... Par contre, et c'est sur quasiment tous les sites spécialisés, Apple est en train de se forger une solide réputation de pingre en n'intégrant pas à ce modèle phare les dernières innovations comme le trackpad tactile. Et puis la télécommande devient payante... À 19$, c'est quand même rapiat ! Mais au moins je ne suis pas jaloux !!!

À vos livres. Prêts... Lisez!

Il y a une originalité du système d'études québécois qui n'existe pas en France : c'est la semaine de lecture. En gros, c'est comme des vacances, mais sans les vacances... On n'a pas cours mais la fac reste ouverte et, en principe, c'est le moment que l'on choisit pour corriger le tir d'un semestre mal engagé, discuter avec les profs etc. Un peu comme une semaine de révision sauf que c'est en plein milieu du semestre.  
En fait, c'est surtout la soupape qui permet gentiment d'évacuer la pression. Le rythme de travail ici est infernal à côté du rythme français où un bon coup de révision à la dernière minute suffit. 
Pour moi, c'est aussi le bon moment pour rattraper mon retard, planifier l'année et mes recherches pour l'essai de ma maîtrise, écrire des articles et gagner des sous. En corrigeant des copies par exemple... 
C'est apaisant de mettre du rouge partout.

jeudi 21 février 2008

Ça y est Papa, je suis un Cruse !


Resto ce soir avec Maman et ses deux amis. Un des très bons de Québec (on est rentré un peu vite, on avait pas bien vu les prix...)

Au menu : spécialités québécoises
Poutine (évidemment) mais au foie gras de canard poêlé 

Coureur des bois : Tourtière (porc, boeuf, caribou, cerf et wapiti) du Lac Saint-Jean et son mijoté de bison et faisan


Et pour m'achever pour digérer, une petite Tarte au sirop d'érable et crème baratté avec ce commentaire du serveur : « Si vous avez le bec sucré... Parce que quand même, c'est un peu sucré... »


Tout était évidemment succulent; ce sont les meilleures poutine et tourtière que j'ai eu l'occasion de goûter et c'est dommage que je n'ai pas réussi à mettre la main sur mon appareil photo qui était rangé dans mon sac. Du coup j'ai pris tout ça à la webcam. (Oui, j'ai toujours un mac sur moi et alors.)

Mais la meilleure part de ce très bon souper, c'était le vin : 
un Jacob's Creek

C'est la première fois que je prends du plaisir à boire du vin. Et celui-là était terriblement bon. Mais ce qui me fait le plus plaisir, ce n'est pas d'être en famille (on produit du vin) mais de m'ouvrir les portes d'un plaisir que ma blonde aime. Ma chérie va pouvoir me faire découvrir pleins de vins et on ira subtilement ranger la cave de maman en douce (mais avec elle). Oui parce que celle de Papa, je ne sais pas mais je pense qu'il ne sera pas d'accord. Ou alors juste s'il participe. 

Ah, j'allais oublier... Le premier qui me déshérite maintenant, je lui vide sa cave!



mercredi 20 février 2008

Antipathique

yes men VS Balkany par lelabtv
Vidéo envoyée par lelabtv

C'est tellement stupide que je pense que c'est un geste citoyen de faire circuler les âneries de Balkany.

Je me souviens d'un SDF près de chez moi dont le regard, croisé dans le métro, m'avait si profondément ému que j'avais été lui parler. On a eu de longues discussions dans les mois suivants avant qu'il ne disparaisse de son bout de trottoir. Son histoire, vraisemblable, c'était un coup qu'il avait pris sur les tempes par un type qui voulait lui piquer son perfecto. Il en avait eu les rétines décollées (ou quelque chose comme ça) et était presque aveugle (d'où un regard magnétique). Cuistot, il a perdu son boulot. Et les petits malheurs de la vie aidant, avant qu'il ne soit pris en charge par l'État il s'est retrouvé dans la rue. Après pour en sortir... Difficile de prendre en charge des gens qui n'ont plus d'adresse, qui sont déboussolés, qui changent souvent de lieu mais de là à dire qu'ils ont choisi d'être à la rue, il faut vraiment s'appeler Balkany pour oser...

J'ajoute que ce charmant homme, avant d'être réélu, a été condamné, entre autres, à 15 mois de prison avec sursis, 200 000 francs d'amende et deux ans d'inéligibilité, selon Wikipédia. Il doit un million d'euro environ aux comptes publics et a demandé une remise gracieuse au ministre de l'économie en février dernier. 

La vidéo date de 2005. 

mardi 19 février 2008

Ah mon Doudou, la neige si tu savais...

Ce petit tapis blanc qui fait froutch froutch quand on marche dedans. Oui parfaitement ! Froutch Froutch. Et laissez-moi vous dire que c'est mille fois plus rigolo que le splotch du pied gauche à Paris. Cette neige mon Doudou (y'a que toi qui me comprenne), t'attend là, sur le pas de la porte. Fraîche. Légère. Immobile. Comme un oisillon tombé du nid. Toi, tu sors de la fac. Après une longue journée, tu avais oublié que la nature pouvait être si belle. Elle t'était même sorti de la tête, cette grande dame blanche. Et voilà que tu la retrouves, à tes pieds. Immaculée. Vierge. Ses douces courbes ondulant avec grâce... Tu hésites, tu es ému, tu ne sais quoi faire; elle est si belle... Tu n'oses pas... Tu t'approches. Doucement. Très doucement. Tu l'effleures... Tu sens la fraîcheur qui voile sa peau de satin. Tu hésites. Encore un moment. Pour arrêter le temps. Il n'y a plus personne, vous êtes seuls. Tu peux enfin t'élancer. D'un grand pas, tu franchis le seuil... Vous voilà réunis, tous les deux. Seuls au monde. De tes pas, tu imprimes sur son corps tout ton amour. À grandes enjambées tu l'emmènes valser ! Que virevoltent ces grains légers ! Que se découvre cette pulpe onctueuse ! Ah, comme vous êtes heureux tous les deux, seuls, à jouer comme deux gosses...

Chérie, je crois que j'ai une maîtresse.

Aujourd'hui les enfants...


Comment aborder la chose... 
Avant de me faire taper sur les doigts par ma blonde (et avec raison d'ailleurs)... De toute façon elle a toujours raison ma bonde. Elle est formidable et c'est pour ça que je l'aime. Mais ce n'est pas le sujet. Je disais que si j'en dis trop dans ce post, je peux, par un concours de circonstances - quasi-impossible étant donné que si on me cherche sur Internet, et bah on ne me trouve pas -, me faire choper. Merci Tom (bien pratique celui-là). Mais quand même. Mieux vaut ne pas courir le risque.
Alors je ne vous dirais pas dans quel cours j'étais tout-à-l'heure avant de discrètement m'échapper pour aller parler à la-dite blonde susmentionnée plus haut précédemment. Mais sachez que je m'ennuyais comme un rat mort et que j'essayais désespérément de ne pas loucher sur l'énorme décolleté de ma voisine (Aïe! Non! Ne tape pas ma chérie, j'lai pas fait exprès...) Car ce n'est pas que j'étais venu faire du journalisme mais un peu quand même et que ce semestre, je n'ai qu'un cours sur quatre qui en est vraiment. Et c'est pas que je commence à être tanné de mes études mais un peu quand même. Alors quand c'est pas du journalisme pur, même si c'est passionnant, de temps en temps, j'ai l'esprit qui vagabonde, le regard qui fuit et le blog qui me chatouille (mon ordi est toujours allumé en cours).
Mimine ayant en plus eu la bonne idée de tomber malade environ aujourd'hui (je pensais qu'on était plus solide chez les picards), j'étais vraiment dans le désœuvrement le plus total à errer sur le web ce qui m'a ramené à une triste réalité : sans elle, les cours sont longs, longs, longs...

Parce qu'avec elle, déjà rien que toutes les piques sadiques que je calcule consciencieusement pour la faire sursauter m'occupent un bon moment, alors pour le reste...

D'ailleurs, on n'a pas l'air heureux tous les deux ?



C'est officiel!

J'ai signée en bas de la page, comme dit une jolie chanson que j'ai dans la tête depuis une semaine :

Mon premier vrai job sous-payé dans ma future longue carrière de chômeur pigiste. J'exagère : je suis bien payé. N'empêche que c'est le vrai premier contrat de ma vie (mieux vaut tard que jamais) C'est mon papa qu'il est fier! Plus que moi d'ailleurs, mais le pauvre a tellement d'admiration pour sa brillante progéniture qu'un rien l'émerveille (je t'aime mon papa)...

Concrètement, je vais travailler pour le prof qui dirige ma maîtrise à divers travaux : recherche, corrections, préparation de cours... De quoi bien s'amuser !

Clin d'oeil

De blog en blog, après Barry chez Ally, voici Lionel à l'hélium :

Saint Valentin priez pour nous

Je sais, je sais.
La Saint-Valentin c'était la semaine dernière. Mais ne dit-on pas que la fête des amoureux c'est tous les jours ? 

Bon et puis j'ai pas besoin de prétexte niaiseux pour mettre une vidéo sur mon blog.

Non mais.

dimanche 17 février 2008

Bug attacks!

Et le visiteur du jour est...


Le poisson d'argent !

Je suis vraiment à l'étage des porcs parce que voir ça débarquer dans ma chambre en à peine une semaine... Comparé aux punaises, je suis tout de même gagnant : le poisson d'argent est du genre cafard, il squatte là où c'est crade mais ne pique pas.

Je préfère toutefois, le second visiteur du jour : une coccinelle. 


Au mieux, les températures sont négatives et il neige tous les jours (même si parfois c'est assez peu) et cette bonne bébète-là trouve quand même le moyen de m'amener une brise de printemps dans la chambre.

« J'en ai une toute petite »


Mais qui a bien pu prononcer une phrase pareille ?

a. Mimine
b. Mimine
c. Mimine

vendredi 15 février 2008

On n'est plus en sécurité nulle part, ma bonne dame!


Si en rentrant chez vous, vous croisez un camion de pompier, vous vous dites qu'un chat est coincé dans son arbre, qu'un enfant s'est enfermé aux toilettes ou que quelqu'un a fait un léger malaise. Mais lorsque les camions de pompiers sont une bonne dizaine et qu'ils ont presque tous une grande échelle sur le dos, celle qui fait rêver les gamins (et leurs papas), là vous vous dites que c'est plus grave, qu'un feu a dû se déclencher. Si vous n'avez pas de famille dans le bâtiment, très égoïstement vous penserez à vous : j'ai bien fait de rester travailler un peu plus tard ce soir. Puis à vos affaires : mince, ma collection de caleçons, ai-je songé pour ma part. Ne rigolez pas, j'avais mon ordinateur sur le dos et le reste se remplace. Mais mes caleçons... 
Enfin bref, ma copine Mimine, qui elle était dans le bâtiment, m'a dit que c'était humain comme réflexe. Et puis de toute façon les pompiers discutaient gentiment quand je suis arrivé donc c'est que ça ne devait pas être si grave. Mais dans le doute, alors que j'attendais l'ascenseur, je me disais que j'étais bien content d'avoir été ailleurs. Au cas où. On ne sait jamais. Jusqu'à ce qu'un agent de sécurité envoie tous les pompiers au De Koninck pour une alarme incendie qui venait de se déclencher. Le De Koninck, c'est précisément le pavillon dans lequel je bossais 10 mn plus tôt. Comme quoi...

I'm a poor lonesome cowboy...


« Le seul moyen d’allonger la vie, c’est d’essayer de ne pas la raccourcir »

Je vais suivre le conseil de Personne dans Mon nom est personne, mais moi je ne toucherais plus aux haricots au lard et sauce tomate. Je me doutais bien que l'oeuf ne serait pas dans la boîte... En revanche, l'étiquette annonçait de la viande. Mais pour toute viande qu'il aurait dû y avoir là-dedans, c'était un seul gros bout de gras. Si gras qu'à mon avis la pauvre vache qui la fait ce morceau-là, devait vraiment être dans un sale état. Donc celle-là de conserve : fini !

jeudi 14 février 2008

La douce vie de l'étudiant 1/2 ou les rations de survie

Être étudiant, c'est savoir faire des concessions. Manger un peu moins cher (pas moins bien) par-ci, pour pouvoir manger un peu mieux par-là. Garder quelques sous de côté pour un resto avec des copains. Épargner de quoi faire quelques virées au pub de temps en temps. Enfin, tout un tas de choix cornéliens qui obligent de temps en temps à aller chercher les solutions économes.
Pour les cuisiniers en herbe, il est visiblement facile de manger bien à faible coût. Mais pour les autres... Pour ceux comme moi qui sont incapables de faire bouillir des pâtes sans provoquer un geyser : pas le choix, il faut se replier sur les plats tout prêts. Parmi lesquels, les surgelés. Mais mon frigo de bar ne prend que deux boîtes max. Quant aux alléchantes barquettes du rayon frais, vous en prenez deux ça vous revient plus cher qu'un resto et vous avez moins bien mangé. Il reste les conserves, qui sont encore la solution la moins mauvaise ou la plus économique, ça dépend de quel point de vue on regarde.
Le problème des conserves, c'est que mine de rien on a vite fait le tour du catalogue... J'ai donc testé pour vous, récemment, ce délicieux "Ragoût irlandais". Et je ne veux pas croire que l'on mange ça en Irlande ! Je vous laisse la photo qui évoque bien le goût de la chose...


La douce vie de l'étudiant 2/2 ou l'entraînement à l'apnée


Je vous avais déjà parlé des douches de mon nouvel étage. Et bien pas plus tard qu'hier, après une intense investigation, j'ai trouvé la source de la puanteur qui émanait du coin. Qu'en comparaison les toilettes des aires d'autoroutes c'est presque un bon bol d'air. 
L'urinoir est le coupable : la chasse d'eau cassée fuit plus qu'elle ne coule, laissant gentiment macérer son contenu. Ce qui est étonnant, c'est qu'aucun de mes voisins n'ait pensé à signaler le problème avant moi (ça a bien fait rire la dame de l'accueil d'ailleurs).
Bon, vous allez trouver que je ne suis pas très perspicace. Mais avec mes voisins et l'état des commodités pas commodes du tout, j'avais développé une puissante stratégie d'évitement. Et puis quand je n'avais pas le temps d'aller ailleurs, je tentais le tout pour le tout à l'apnée. Dans une délicate position d'équilibriste pour éviter les gouttelettes qui, au flair, avaient sûrement dû jouer les filles de l'air sur le carrelage...

Si vous trouvez que j'en fais trop, laissez-moi juste vous raconter une anecdote : 
En début de semaine, alors que je prenais tranquillement ma douche (non Papa, je ne la prend pas juste en début de semaine) une forte odeur qui ne laissait planer aucun doute sur la taille de la commission, vient me chatouiller les narines. Damned! Plein de savon, me voilà piégé. Si je retiens mon souffle, je serais bleu ou pas lavé. À contrecoeur, je décide de terminer ma douche en respirant par la bouche et j'essaie de ne plus y penser. Mais là, j'entends "flotch, flotch". Comment ça "flotch, flotch", me dis-je ? Il n'y a pas de balais dans les toilettes... De nouveau "flotch, flotch". Mais qu'est-ce qu'il fout ce type à patauger dans sa mare ?!? Et surtout, il le fait avec quoi ? J'aimerais bien le savoir ! Non. Finalement, je veux pas savoir : en sortant, j'ai pu voir à son pantalon baissé aux mollets qu'il n'avait pas fini, sur son trône...

Concours : d'où vient cette photo ?

Les réponses dans le sondage sur votre droite --»

La Saint-Valentin à l'Université Laval, c'est...


Des roses, des ballons, des petits coeurs partout
Un menu spécial avec du gigot au chocolat
(mais non pas beurk...)
Des gens qui sont tous seuls et d'autres qui s'embrassent
Une frénésie, un je-ne-sais-quoi d'électrique qui flotte dans l'air
...
Et puis il y a aussi de gros malins qui écrivent des mots doux dans la neige




P.-S. On n'imprime pas la première photo aux grand-mères svp.

mardi 12 février 2008

Québec. Une nouvelles bactérie découverte par les chercheurs : La Kipudépié

Depuis dimanche, une forte odeur émanait de l'entrée de ma chambre. J'avais beau chercher, humer longuement le couloir, vérifier l'état de mes semelles, je n'arrivais pas à localiser la source. Jusqu'à ce que...



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Oui. Parce que je ne vous ai pas raconté, mais notre petite virée avec Groquik dimanche était, comment dire, humide... Et entre l'après-midi dans la soupe qui finit bien, à un moment ou à un autre par rentrer dans les baskets, et mon pantalon qui déteint, j'avais deux éponges marronasse au pieds en rentrant chez nous. 
Mais que les âmes sensibles se rassurent : la sanction fut immédiate (une fois le coupable appréhendé bien sûr).

Post interdit au -18 ans*

Je ne sais pas si c'est à cause de mes articles ou bien parce que j'ai vu défiler une bonne dizaine de film éducatifs pornographiques en essayant de pirater de trouver une très longue bande-annonce du dernier Astérix avec toutes les images du film (bah oui quoi, sinon il fallait attendre le printemps chez nous), toujours est-il que je suis tombé sur cette vidéo et comme j'aime bien la bande qui joue dedans, voici les 5mn érotiques de mon blog : 

Et au passage, à propos de mon piratage de mes téléchargements anodins, je voudrais juste dire deux choses :

1. C'est plutôt permis ici. Enfin plutôt pas trop interdit encore.

2. Je tire mon chapeau au gros malin qui a eu l'idée de faire un remake porno de Tarzan. Extrait des dialogues : 

"Moi Tarzan, toi Jane. Moi kiki, toi pas avoir ? Moi chercher où toi avoir planqué kiki..."


* et interdiction de forwarder aux grand-mères !

lundi 11 février 2008

Devine qui c'est...

Il est 2h31 et je viens de finir mon article sur l'Opus Dei. Ouf ! Presque deux mois (trois ?) de gestation. On laisse reposer quelques jours et zou vers les magazines ! Ça méritait bien un petit post, ça. 

Maman ? Elle s'approche de moi, maman...
Maman ?? Môôôômaaaaannnn !!??

Oui je sais, l'image n'a rien à voir avec mon article mais le dernier post était (surtout) destiné à une personne chère à mon coeur. Celui-ci c'est pareil. 
Qui aime bien, châtie bien...

Vélo ?

La vidéo vient de Canal+ et je n'ai pas résisté à l'envie de vous la passer. 
Ceux qui me connaissent comprendront...

Souffle divin


Il y a deux jours, ma copine Mimine se plaignait sur son blog, de la neige qui tombe, qui tombe, qui tombe... Tous les jours de la semaine en fait sauf samedi. Mais vers, grosso modo, 23h42, fin de l'accalmie : ces bons vieux flocons sont de retour. À ma plus grande joie d'ailleurs parce qu'on est en plein Carnaval et qu'avec Groquick on s'était prévu une petite virée le lendemain dont je vous reparle tantôt. 
Mais pour l'heure il fait très beau et c'est de cela que j'aimerais vous parler. Ceux qui connaissent les pays froids savent que généralement la neige ne tombe pas quand la température est trop basse. Les journées aussi glaciales qu'ensoleillées sont fréquentes. Autant dire qu'aujourd'hui, avec du -25°C en moyenne, il faisait très beau. Une des particularités de Québec est d'être en plus très ventée. 40km/h de vent aujourd'hui. Et je précise bien : juste le vent. Parce que les rafales c'est pire. Du coup, la météo locale s'adapte et j'ai eu la joie de découvrir ce nouveau mot ce matin : poudrerie.
Un petit coup d'Antidote et voilà ce que l'on y apprend : 



J'adore le Québec !

vendredi 8 février 2008

Rhâ Lovely

Post : Canal Plus Style this morning


1o mn... 10mn, c'est en temps... le temps que j'ai passé à contempler la neige qui tombe en me réveillant...

10mn, ce sera aussi mon retard si je ne pars pas en cours tout de suite, alors je vous laisse, surtout toi Doudou, sur la vue d'hier soir...

Et en passant, je rassure ceux qui trouve que ma bouille est vraiment trop présente ces derniers temps, je vais moins me mettre, mais j'en connais une ou deux qui adore me voir en photo et comme c'est avant tout une histoire de famille tout ça...
Ah et puis, après le déménagement, il y aura peut-être une seconde bonne nouvelle, dans la journée. [edit 13h25 : finalement je vous la réserve pour un autre jour mais c'est bien engagé]

jeudi 7 février 2008

The Sky que j'vous dis : the sky !


A y est !


J'ai déménagé !

Dans une belle petite chambre avec vue sur notre cathédrale (pour ceux qui ne suivent pas : cet ancien monastère, c'est mon département, Com', et celui de Musique aussi).
Je n'ai pas été très loin : je suis juste passé du sixième au neuvième (et non Mimine, je ne réalise pas un 69). Ça peut paraître peu mais en fait ça change vraiment tout.
Je vous laisse comparer les vues (avant à gauche et après à droite) : c'est sans appel.

Ce n'est pas la plus belle vue (d'autres chambres peuvent voir le centre de Québec) mais c'est franchement, quand même, la plus belle (subjectivement parlant), vu que déjà 1. c'est une vraie vue, pas une meurtrière sur un parking et 2. elle donne dans la direction de mes plus beaux souvenirs : le rafting, Tadoussac...


Quand je regarde là, je vois aussi le studio d'enregistrement, au quatrième étage de l'aile la plus proche, mes premiers pas de journaliste radio, les longues soirées à bidouiller avec amour les sons. La fac est légèrement déporté et mon regard erre lentement sur le début de l'autoroute qui nous emmenait loin, les collines rouges de l'automne, la fin de l'été, un peu indien, les pieds dans l'eau...

Ce quart d'heure de poésie vous était offert par Ashton : 
Ashton, en voilà une poutine qu'elle est bonne !

Parce que passé ces premières minutes d'émerveillement, il faut bien trimballer tout mon bordel d'une chambre à l'autre et ça, c'est beaucoup moins drôle. Même si je me sens pousser des ailes. Mais il y a quand même de bonnes surprises : j'ai retrouvé tout mes Skittles qui étaient tombés la semaine dernière, quand mon paquet m'avait glissé des doigts pour se répandre en petites billes multicolores un peu partout. Et je confirme, un peu partout c'est partout : la chambre ne fait pas 10 mètres carrés mais j'ai bien dû en retrouver une dizaine. Et l'avantage avec les skittles, c'est que c'est lisse. Donc au-delà du fait qu'il se faufilent partout, on peut quand même les manger, même égarés une semaine dans les méandres de mon pucier. On se serait cru à Pâques ! Comment ça "berk" ? Vous auriez fait pareil !
Pour ce qui est de l'emménagement qui m'a pris l'après-midi avec le ménage, la vaisselle de quelques semaines, les lessives et le transbahutage, je vous passe les détails : je suis bien chez nous. Non, quand je dis chez nous, je ne parle pas de mon micro-ondes ou de mon mac, c'est juste que les québécois ne disent jamais "chez moi"
mais toujours "chez nous", quel que soit le nombre. Quoique dans mon cas...

Tu verras, on sera bien ici tous les deux...
(Thom, l'homme qui murmurait à la prise usb de son mac)

Et puis alors attention les yeux, innovation majeure : plus de grillage à la fenêtre de la cellule !


Oui, il m'en faut peu, je sais, mais allez passer cinq mois dans un placard vaguement entrebâillé sur rien et en plus grillagé (oui, je sais, j'exagère un chouia) et vous apprécierez tous ces petits riens-là.
Bon, soyons réaliste, tout n'est pas rose non plus. Il y a une sacré fausse note au niveau des « communs » 




Et à l'odeur, je peux vous dire qu'il n'y a pas que la cuvette, que mes voisins n'arrivent pas à viser... C'est à croire qu'ils ne connaissent pas l'usage de l'urinoir (de la chasse d'eau non plus, d'ailleurs). En passant, j'ai croisé celui de mon ancien étage qui faisait pareil (mais en ayant la suprême délicatesse de relever la cuvette). Avec le type qui se décolle bruyamment les glaires sous la douche (j'imagine qu'après il doit bien les cracher quelque part) c'étaient les deux seuls à ne jamais dire bonjour... J'espère que les prochains seront pas si pire et sur ce, je vais m'arrêter là et me mettre à ranger. Parce que ce n'est pas encore le courrier en retard de Gaston Lagaffe chez moi, m'enfin un peu quand même...