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Québec, Canada
En année d'étude en Maîtrise de Journalisme International à l'Université Laval. Et après...

Derniers commentaires

jeudi 31 janvier 2008

I believe I can fly...

Pour faire plaisir à ce cher Anonyme qui les réclamait à cor et à cri, voici une autre fournée de petits chats (et un lapin) :
Ça n'a pas marché comme je le voulais.

Dumbledore est gay ?! (Dumbledore est le vieux sage dans Harry Potter)

Je joue plus avec vous les gars! 

Minou : 1
Boule de Bowling : 0

Attendez ! Je capte un signal !

Comme ça, c'est entériné : ce blog ne vole pas haut.

Pourquoi je rejoindrais (peut-être) MediaPart - Thom

Pourquoi je rejoins MediaPart - Laurent Mauduit
Vidéo envoyée par Mediapart

Non je n'ai pas changé d'avis sur Mediapart.

Non je n'ai pas cédé aux pressions de mon lectorat en hausse (+ 2 commentaires de gens que je ne connais pas, youhou. Ça doit être l'effet Plenel.)

Mais comme il n'y a que les imbéciles qui ne changent pas de veste, je vais saisir l'occasion de faire (un peu) amende honorable. 

Je n'aime toujours pas Plenel mais un commentaire m'a fait revenir sur mes pas. Sur son site qui n'est pas son site, il y avait un article vraiment bien fait sur les coups tordus des banques dont je vous laisse deviner qui en était l'auteur. 

Vous êtes trop fort : c'est Laurent Mauduit. J'ai été sidéré par sa vidéo de présentation. C'est la première fois que j'entends parler de connivences entre banques et médias ailleurs que dans un livre d'enquête ou de révélations. Alors dans une vidéo de présentation, voilà de quoi donner le ton ! 

Et puis il y a autre chose. Par deux fois, la presse française a eu l'occasion de dénoncer un scandale du milieu bancaire, mais est passée complètement à côté. Clearstream. Peu de gens ont compris ce qui se passait dans ces magouilles politico-financière et il a fallu à l'auteur de l'enquête comme aux juges (dont Renaud Van Ruymbeke qui enquête aussi sur l'affaire de la Société Générale), une bonne dose de perspicacité pour ne pas se laisser couler. À l'origine des deux affaires (Clearstream 1 et 2), Denis Robert, que les médias ont presque toujours fait passer pour un gentil allumé criant au complot malgré ses victoires dans deux nombreux procès engagés par Clearstream qui, dans l'ensemble, prouvent bien non seulement la validité de ses preuves, mais aussi la crédibilité de son enquête (qui a été vérifiée par quelques journalistes par la suite). Mais au moment de sortir son scoop, son principal partenaire le lâche subitement : Le Monde n'apporte plus sa caution. Et ce n'est que bien après ce brusque revirement, lorsque le soufflé sera retombé, que le journal reconnaîtra du bout des lèvres qu'effectivement Denis Robert avait peut-être raison. Mais c'est trop tard et le journaliste attribuera le flop de ses révélations à la puissance du Monde : les autres médias n'ont pas osé suivre à contre-sens du prestigieux quotidien. Beaucoup plus surprenant, bien avant que l'on ne parle de la seconde affaire Clearstream et que les fameux listings ne défrayent la chronique, j'avais discuté avec quelqu'un qui travaillait dans le journal et je lui avais demandé ce qu'il pensait de Clearstream et de Denis Robert. Curieusement, il m'avait parlé d'un corbeau qu'on était sur le point de découvrir laissant penser que ce pouvait bien être le journaliste lui-même et, si j'ai bonne mémoire, il y a eu un ou deux articles allant dans ce sens à l'époque. Mais ce n'est qu'après que sont sortis les listings. Après encore que l'on s'est aperçu qu'ils étaient truqués (à ce moment-là, même Denis Robert ne savait ni que c'était ses listes de comptes qui circulaient, ni qu'elles avaient été modifiées). Après enfin, que l'on a parlé de corbeau. Je me suis toujours demandé comment Le Monde avait été mis au courant qu'un corbeau se préparait à agir dans l'ombre avant même qu'il n'ait agi. Et pourquoi tant d'acharnement sur Denis Robert. Ce dernier avait avancé comme début de réponse que Le Monde avait sûrement des intérêts dans Clearstream. Restait à savoir lesquels. Laurent Mauduit apporte un élément de réponse : dans un milieu où l'on a tendance à se serrer les coudes comme l'expliquent volontiers les banquiers, généralement de façon anonyme, à l'occasion des divers scandales ou enquêtes, les intérêts croisés des dirigeants du Monde ne vont pas encourager au sabordage de la banque des banques. Mais ce ne sont que des hypothèses.

En attendant, j'aime franchement le ton et l'expertise de ce monsieur, qui tranche, à mon goût, avec le style Plenel, plus mielleux. 

mercredi 30 janvier 2008

Mâche pas tes mots!

Ceux qui me connaissent savent à quel point j'aime faire dire des âneries aux bébés ou aux animaux que je croise un peu partout. Et bien je ne suis pas le seul ! Ce site : icanhascheezburger.com collectionne les photos de chats (le plus souvent) et les commentaires que d'autres taquins en mon genre, ont glissé dans les bouches de ces pauvres bêtes. Et puis si j'ai bien compris, l'écriture un peu spéciale correspond au langage SMS version anglophone (mais je ne suis pas sûr). Enfin bref, c'est une mode et une mode géniale dont voici mes préférés (avec traduction) :

Mais Maman... Tous les enfants portent des pantalons comme ça maintenant!



Il ne se doute de rien


C'est elle qui a commencé


Je planifie une vengeance!


Ton indolence me déplaît

Et j'en ai encore plein d'autres que je mettrais en ligne par séries.

Pourquoi je ne rejoindrai pas MediaPart - Thom

Pourquoi je rejoins MediaPart - Edwy Plenel
Vidéo envoyée par Mediapart

Pourquoi je ne rejoindrais pas MediaPart (en tant que lecteur s'entend). Et bien... Parce que Gruchot, assis là sur son divan, comme un vieux de la vieille qui fait mine de puiser de graves confessions dans ses souvenirs du front pour épater les bleus... Gruchot qui nous abreuve de généralités à la fois si justes et si... Comment dire... Si pleines de résonance. Que derrière leurs petits angles arrondies, chaque virgule, chaque once de discours sonne juste tout faux. Ce brave Monsieur donc, devant son tableau et sa petite statue, nous fait assez pompeusement le coup du Pin's : Portez MediaPart! Mediapart, la seule marque garantie Edwy Plenel. Il nous explique, droit dans les yeux, sur une confidence de ton toute plenelienne dans ce drôle de clip promotionnel qui ressemble à ceux des politiques, que lui, c'est le renouveau. Il y a l'accroche réaliste mais larmoyante mais réaliste du candidat du changement : "Tous est fait, aujourd'hui en France pour désespérer les journalistes [...] nous sommes devant une presse perdante, perdante..." Vient ensuite la vitupération de l'opposition, qu'ici l'on dégage très habilement sur le politique (il aurait été maladroit de taper sur les médias quand on n'existe pas encore), "Notre système présidentialiste,  ce bonapartisme étouffant" (et hop, tout sur le nain) dont l'éloquente formule n'évoque à peu près rien même à tous ceux à qui elle évoque quelque chose si ce n'est de rappeler que Sarkozy a quelques airs d'aïeul Corse. Enfin, le mea culpa tout démagogique : "Nous nous étions appropriés un pouvoir indu", nous, les journalistes. Et on peut le croire Papy, il sait de quoi il parle au moment où l'on ouvre grand la porte à Minc, dernier survivant du trio infernal que Plenel formait avec Colombani lorsqu'à eux trois ils avaient Le Monde dans leurs mains.

Alors maintenant qu'on est parfaitement affolés, comme dans une pub pour de la lessive, voici le produit miracle : "mediapart, c'est un peu une réponse à tout cela..." lance l'abbé Edwy d'un regard un peu pensif mais confiant. N'aies plus peur mon enfant. Je suis là... Et ensemble, je vais "[t']inventer une nouvelle presse", libre éditorialement et indépendante économiquement. C'est là qu'est l'entourloupe : l'indépendance économique, pour les sages, c'est la contribution généralisée des hommes politiques. Un impôt. MediaPart est un site payant et le vieux singe, entre deux grimaces et un coup d'oeil aux notes posées sur le divan, nous y prépare doucement : il va falloir payer cette indépendance. Je passe le coup de "la presse participative" à construire soi-même tellement la récup' de discours est grossière pour aller dans le fond des choses : que nous dit Edwy Plenel entre les lignes ?

Tout simplement qu'il va inventer un journalisme en ligne digne de ce nom. Mais attention : pas n'importe comment. "Mediapart, ce ne sera jamais edwyplenel.com (le ".fr" faisait trop modeste pour le bonhomme). En gros, ce site payant fournira de l'info que les autres n'ont pas, certes, jusque-là rien de nouveau, mais en plus à laquelle participeront les lecteurs. À première vue, un banal système de commentaires comme il y en a sur tous les blogs et maintenant sur tous les journaux en ligne. Alors, quoi de neuf Doc ? Et bien pas grand-chose... Il est un peu tôt pour juger du chef-d'oeuvre mais la première esquisse n'est pas fameuse : on a deux scoops qui n'en sont pas. D'abord la déposition du Trader de la Société Générale que tous les médias ont et qui n'apporte rien de neuf si ce n'est un long article [màj 31/01 : en fait c'est bien un scoop que tous les autres médias ont pu reprendre] et ensuite le démantèlement des services régionaux de France 3 qui devient le démantèlement de France 3 et qui sent les bruits de couloirs à plein nez. Pas grave, on "maintient [nos] informations" proclame le site qui n'a décidément pas peur du pouvoir. Et on le comprend, comme rien n'a l'air décidé, si tant est que c'était bien en plan... Il y a juste un petit truc qui me chiffonne : sur Kerviel, le Trader, 61 commentaires, tous élogieux. Je visite beaucoup de blogs, sur des sujets très divers et je n'ai jamais vu un tel succès. On se croirait dans une causerie de salon et, vous saisirez mon sentiment : je trouve que ça fait un peu carton-pâte tout ça surtout avec cet étalage de bons sentiments de journalistes qui ont une certaine bouteille. D'autant qu'à côté, plus modeste, plus maladroite mais so more juicy et pleine de candeur, déborde d'inventivité et d'impertinence une presse du web qui prend doucement forme. Rue89 ou Agora Vox pour en citer deux célèbres et puis tous ces petits blogs faits avec des bouts de ficelle, des appareils photos pour les vidéos, des podcasts, des petits montages un peu gauches... Un enrobage artisanal en fait, mais un vrai délice à l'intérieur, contrairement à ces mastodontes qui débarquent avec fracas et rien dans le ventre. Peut-être, et même pourvu que MediaPart me fasse mentir. Mais si ce n'est pas le cas, ce ne sera pas très grave : le web grouille d'énergies, d'idées, de libertés... Et surtout de gratuité.

Une petite mention particulière au passage sur le "Bref, une presse qui..." Petit coup d'oeil aux notes, hésitation, réflexion feinte (le regard clignotant, visionnaire), le suspense est insoutenable... Attention... Ça y est : déchaînement de jolis qualificatifs... roulement de tambours et chute : "...une presse qui nous aide... [silence] ...à être des citoyens libres!" Je l'imagine bien au tournage : "attends coco, on la refait celle-là, j'ai oublié de placer démocratique à la fin..."

dimanche 27 janvier 2008

Veni, Vidi, VICI !!! ou In War #3, le récit de la victoire.


Lô, lô, (comme disent les Québecois) ce papier lô... C'est comme un traité d'armistice sur lequel le Grand Exterminasincteur en personne serait venu apposer son sceau pour reconnaître mon éclatante victoire !
Très officiellement : j'ai vaincu. J'ai laminé les petites bébètes qui ont infestés ma piaule. Une par une, je les ai exterminées avec le plus impassible sang froid et dans la plus immonde cruauté ! 

Vous serez toutes pendues!

...que je leur ai dit de mon Trébuchet (je lance un concours dans les commentaires de ce post : celui qui trouvera ce jeu de mot gagnera tout mon estime et/ou un petit cadeau façonné de mes petites mains habiles). Avant de lancer un :

Mais je ne suis pas folle vous savez... 

qui restera dans les annales de l'histoire connu sous le nom du Sacre de l'habitat (plus dur celui-là : double ration d'estime et de très zolis cadeaux faits mains à la première qui trouve*)

Bon. En même temps...

C'était rapide : la prodigieuse armée était composée d'une seule mais vaillante punaise, qui a été vite mise en déroute. 
Sans doute un éclaireur, dont la tête, plantée sur un cure-dent (je suis ignoble...) a effrayé le gros de la troupe qui attendait patiemment, planqué dans l'embrasure de la porte. 
AH! AH! Vous faites moins les malignes maintenant ! C'est qui qui le Boss, maintenant ?C'est qui ???? C'est Tôtô !!!

Et la bonne nouvelle, c'est que du coup je vais avoir le feu vert pour changer de chambre...
Mais n'empêche, tout ce ramdam pour une malheureuse punaise que j'ai dû embarquer à l'aéroport et qui s'est retrouvée perdue chez moi. Toute seule...
Si ça se trouve, elle cherchait juste un peu de réconfort et un gros câlin, la pauvre... Et moi je l'ai lâchement tué sans même esquisser une ouverture ou proposer des pour-parlers. Je suis ignoble... Quand je pense qu'on aurait même pu, peut-être, devenir des amis et que je l'ai assassiné sans aucune pitié. Je suis un monstre !



*Je dis la première parce que la spécialiste de cette obscure période lit mon blog et que je serais étonné qu'elle ne trouve pas la première.

Je m'insurge!

Oui je suis comme ça, moi ! Pas besoin d'avoir une raison : j'anticipe.
Oui Môssieur (ou Môdame, c'est selon, vous choisissez, je ne vais pas le faire à votre place non plus). 
Oui, je m'insurge !
Ah, je vous entends déjà ! 

"Ouais, pas mal ton petit montage sur le Crashed Ice..." 

Mais j'objecte ! Oui ! Parfaitement ! J'objecte ! 
C'est mon droit le plus absolu c'est mooooôôôôôn blog. (« et c'est pas uuuuuuuuuuunnn jouet »). 
Alors avant que vous ne vous déposiez le plus infime petit commentaire sur cette brillantissime vidéo, sachez que toutes les images proviennent de cette petite chose (et d'une autre petite chose d'une copine, Cécile, un Sony du même genre) :

Quant aux prises de vue, sachez, chers lecteurs, que sans accréditation j'ai dû fendre la plèbe ! (Oui, la foule. C'est pareil. Commencez pas à chipoter, hein !)
Au péril de ma vie et sous la menace constante de milliers de coudes amateurs virevoltants pour récolter un ridicule souvenir tandis que moi, happés par des cent... des mill... des millions ! de pieds affamés (belle image, hein ?) je luttais pour the-plan-de-la-mort-qui-tue(-sa-mère)(-tabernak!)

Voilà... Je vois que vous avez compris. Vous pouvez maintenant aller déposer une gerbe de louanges  et un concert de viles flatteries aux pieds de son apprenti concepteur ici. Et souvenez-vous bien : IL vous aime.

Qui ça "il"? Bah, moi évidemment... 

Janvier au Québec, c'est...

- des températures qui chutent. Jusqu'à -30°C (corrigé -40°C avec le facteur vent) la semaine dernière.
- et qui remontent : -9°C hier et sans vent (ça tombait bien parce qu'au Red Bull on se gelait les noix.. euh.. les doigts!)

- la neige a bien fondu au début du mois avec des températures positives mais les stocks sont encore importants.



L'observateur attentif, que vous êtes, notera que le tas de neige, devant des résidences parfaitement camouflées dans la grisaille, est largement supérieur aux voitures. L'auteur de ce blog, que je suis, attentif lui aussi, mais au bien-être de ses lecteurs, mentionnera juste que des tas comme celui-ci il y en a un peu partout sur la fac, dont un qui prend carrément un demi-parking à lui tout seul.

- et puis, comme ne le montrent ni la photo, ni la carte satellite, dans l'ensemble on a souvent un  beau gros soleil avec de rares (mais intenses) averses de neiges sur le quart Nord-Ouest du pays, accompagnées de faibles ondées en mati... 
Mais qu'est-ce que je raconte ?!? 
Je m'emballe : il fait juste très souvent très beau (et très froid) et c'est très agréable!

Rêve de gamin...

Un journaliste disait : « Débouler une rue transformée en patinoire, en pleine ville, ça relève du fantasme pour n’importe quel petit garçon qui a grandi au Québec » (Michel Corbeil dans Le Soleil). Et bien toute une bande de fêles vient de réaliser cette tentation de tout sale gosse qui se respecte : c'était le Red Bull Crashed Ice!



On passera la pub pour le jus d'énergie, le vainqueur de je ne sais plus quelle nationalité pas québécoise ou mon premier café (avec Brandy et Khalua s'il vous plaît) pour retenir le fait du jour : imovie est drôlement pratique quand on apprend à le dompter ! Merci Apple...

mercredi 23 janvier 2008

De blog en blog

Découvert sur le blog de Pénélope Jolicoeur qui l'avait elle-même découvert sur un autre blog, cette jolie vidéo qui me rappelle un autre joli coeur accroc au café. C'est magique Internet...

mardi 22 janvier 2008

Nouvelle mise en page ? ll y a de la migration dans l'air...

En rentrant de ses vacances, ma copine Mimine s'est ouvert un très joli nouveau blog. Jaloux comme un pou, je me suis dit que moi aussi j'allais migrer vers un The sky is the limit V3.0. Allez zou! J'suis comme ça moi et ni une ni deux mais trois (attention : jeu de mots subtil) me voila sur Wordpress. Tout ravi de cette nouvelle plate-forme avec plein de petites fonctions sympathiques. Mais prudent, je me dis qu'avant de déménager totalement il faudrait peut-être tester ma nouvelle terre d'accueil. Mais là, ô cruelle désillusion : c'est beaucoup plus complexe pour poster des vidéos (ce qui est un peu l'ultime post pour moi étant donné que les caprices d'Internet peuvent vraiment compliquer la chose). Et puis les photos s'affichent avec des espèces de pop-up bien relou, et puis les commentaires, c'est bien beau de me classer les derniers mais si tout le monde n'est pas sur wordpress j'ai une batterie de points d'interrogations et puis, et puis, et puis...
Bref, moins belle mais tellement plus pratique, je garde mon ancienne plate-forme sur Blogger (qui appartient à Google pour info) avec un léger restylage.

Pour le crédit photo : c'est R...bip...e, qui n'est pas toujours solidaire du contenu de mon blog (avec raison bien souvent) et souhaite rester dans l'anonymat.

dimanche 20 janvier 2008

J'ai deux amours...

Vous connaissiez mon vélo, laissez-moi vous présenter mon microndes. Pour l'instant ils ne savent pas que j'entretiens une double liaison, alors surtout : Chut!!! 

(En fait je viens de me souvenir que j'ai ramené Microndes sur Vélo, tout comme je l'avais fait avec Frigo. J'espère qu'ils ne s'en sont pas rendu compte...)


Et désolé pour la vidéo mais iphoto c'est pourri et j'ai pas encore Final Cut (mais ça ne devrait pas trop tarder).

samedi 19 janvier 2008

Vous ne nous avez jamais compris...

Avant que je ne parte au Québec, en France, la mode du slim prenait doucement de l'ampleur. 

Non!!! Vous ne savez pas ce qu'est un slim ?!? Allez vous me faites marcher! Je suis sûr que vous avez déjà croisé un djeun avec le total look orange mécanique : savates, chemise kitsch (voire bretelles), chapon melon ou presque, maquillage de temps à autre et bien sûr : le slim! 

Que voilà :

Je dois avouer que j'éprouve une vraie sympathie pour ces Ostrogoths-là. Vraiment ! Je les trouve touchants et je n'ai pas honte de le dire : j'aime la techtonik et ce qui tourne autour! Je trouve les rythmes entraînants et la danse a un je-ne-sais-quoi d'hypnotique qui me fascine. 

Alors évidemment, on « frôle » souvent le ridicule. Mais je me souviens, à mon époque, on portait des sacs aux chevilles (qu'on appelait baggy) des grosses pompes pas lacées qui ressemblaient à des pantoufles et en haut : que du quintuple XL. Étions-nous moins ridicules, fringués comme des bébés dans la garde-robe du papa ?

MacBook Air :-) la pub!

Bon ok! J'avoue : c'est pas la vraie pub. Mais son auteur est un très bon blogueur qui parle bien mieux que moi de la nouvelle petite bébète d'Apple et il me fait plaisir de vous le présenter (j'ai comme l'impression de choper des tiques, sans mauvais jeu de mots, du langage depuis que je suis à Québec...) 

Monsieur Dream - Quasi-test du MacBook Air :-)
Vidéo envoyée par MonsieurDream

Son blogue : www.monsieurdream.com

mercredi 16 janvier 2008

JE NE SUIS PLUS UN GEEK!

C'est fini! Je rends ma carte du parti (euh...), je déchire mes posters de Steve (Jobs), et je vais regarder ce que fait la concurrence (non, là c'est une blague).

À ceux qui se demandent : "mais de quoi c'est qu'il cause ?", let me introduce a few points, comme dirait l'autre et quelques mots de vocabulaire.

Mardi, Steve Jobs, le patron d'Apple, la société qui fabrique les ipods, les iphones et des ordinateurs tip-top, a tenu une Keynote à l'occasion de la Macworld. Une Keynote est une présentation assistée par ordinateur (c'est aussi le nom du logiciel utilisé pour le faire et son équivalent dans le merveilleux monde des PC-Windows est le fameux powerpoint). Et la Macworld, c'est la plus grande exposition de l'année qu'organise ce fabricant et qui est très souvent l'occasion des plus belles annonces de nouveautés.

Au fil des années, une communauté faite de Geeks (prononcer Guiques), s'est développés pour adorer Steeve Jobs.

Ah... Steve Jobs... Avec ses effets d'annonce un brin caricaturaux :

son indémodable tenue, so brandy :

le "ipapy", comme l'ont surnommé affectueusement ses fans, est passé maître dans l'art de la rumeur : l'iphone n'a ainsi presque pas eu besoin de pub, cela faisait des mois que le Web était en ébullition. Et à chaque nouvelle keynote c'est pareil : des milliers de fans comptent les heures en multipliant les spéculations les plus folles qui finissent toutes par atterrir sur les sites de rumeurs (et oui, il y a des sites de rumeurs...). 
Alors pour celles de mardi, on a eu le droit à l'ultraportable révolutionnaire (qui est arrivé) mais aussi un nouvel iphone, l'annonce de la retraite du Gourou, une voiture etc. 
Beaucoup de bruit pour rien. Car oui le macbook air est un ordinateur splendide bourré de nouvelles technologie et qui tient dans une enveloppe, mais franchement... À quoi ça sert de faire un portable qui coûte plus cher que les récents macbook tout court mais qui est facilement quatre fois moins puissant et tellement moins pratique à utiliser. 
Quand je pense que je n'ai pas écouté le quart du cours parce que je suivais avec attention les annonces qui s'affichaient comme des dépêches sur mon écran, je me dis que quelque part on s'est fait avoir. Et pour la première fois depuis bien longtemps, je ne suis pas épaté par une nouveauté d'Apple.
Ce qui me fait plaisir, c'est que je ne suis pas le seul geek a être déçu de tout ce vent et pour pousser mon coup de gueule jusqu'au bout, j'aimerais vous présenter un, de produit réellement innovant (et c'est chez Gizmodo) :

jeudi 10 janvier 2008

In War : Episode 2


Comme toute guerre, celle-ci risque de me coûter cher : je dois TOUT laver (y compris mes chemises repassées par Maria, Snifff!!!). Le service des résidences me rembourse mais ça fait quand même pas mal de travail tout ça.


Et au passage, j'en ai profité pour demander à changer de chambre (j'en ai marre de la vue "murale"): « Pas avant la fin du mois ». Il faut désinsectiser avant, pour ne pas faire voyager les bébètes... Et à ce moment-là, je ne serais pas trop sûr d'avoir une chambre étant donné que les gens seront rentrés. Commence bien la nouvelle année...

Et à propos de voyage, si je les avais avant de partir, il se peut que je les aie trimballées un peu partout : à la maison bien sûr, mais aussi aux Arcs ou à Wazemmes... Désolé. 

Mode de propagation de la punaise de lit : "par contact avec des personnes infestées" qui disaient...

Alors j'en profite pour livrer un petit message de santé publique : surveillez les piqûres (surtout toi Julie) généralement alignées, les traces sur les draps et les recoins dans la literie, les affaires etc. Par mesure de précaution, je vous encourage à faire un peu de lavage des draps...

Enfin, la punaise est résistance et peut vivre un an sans se nourrir... Le rêve !

mercredi 9 janvier 2008

C'est officiel: I am under attack...

En rentrant à Québec tout à l’heure, la mort dans l'âme je m'attendais à retrouver ma chambre vide. Rien que l'idée de la retrouver rangée me minait le moral... Pendant quatre mois, j'y avais méticuleusement entassé la paperasse des cours, les journaux, les paquets de gâteaux, les rires de ma blonde... 
Mais non : elle n'était pas totalement vide. En mon absence, un locataire a pris possession des lieux, sûrement attiré par les magnifiques boiseries en contreplaqué massif ou l'originale peinture blanche façon « trous dans le mur » de ma jolie cellule. 

Et la bébète en question (que je tiens entre mes doigts sur la photo un peu floue) se prénomme très joliment : Cimex lectularius. C'est une punaise de lit...

Arrête de rire Raphaëlle!